La santé mentale est passée devant les TMS:

Si vous souhaitez agir par l'acquisition de compétences relationnelles et/ou par accompagnement thérapeutique, je vous invite à me contacter au 06 86 58 36 19. Soyez rassuré(e) tout est possible.

" il ne savaient pas que cela était impossible, c'est pour cela qu'ils ont réussi" Marc TWAIN

et si vous en doutez toujours, c'est normal puisque "tout ce que l'homme ignore n'existe pas pour lui, donc l'univers de chacun se résume à la taille de ses connaissances" et que "seule l'expérience fait la connaissance" A. Einstein     Prêt(e) pour faire l'expérience!?

La première cause de maladie professionnelle est les troubles de la santé mentale. Déjà l'anxiété était un facteur multipliant par trois les TMS (troubles musculo-squelettiques).  La santé mentale trouve donc justement sa place au premier rang des obligations et devoir de résultat des entreprises. Avec la mise en ligne du DUER, il sera beaucoup plus facile pour l'administration de sanctionner les entreprises, si les obligations légales (et bénéfiques pour les salarié(e)s et donc pour l'entreprise) seraient non remplies.

 

Je recommande tout particulièrement les modules d'acquisition de compétences où chacun(e) pourra développer des compétences relationnelles uniques notamment au niveau du soutien et de la résilience.  

 

                L'avantage premier d'un interlocuteur qui est Psychopraticien et consultant. C'est que vous avec un seul et même intervenant pour la prévention primaire, secondaire et tertiaire en prévention des risques psychosociaux. L'attestation de prestation vous sera remise pour valider une ou des actions qui sera mis en place. 

 

                                                                                                           Renseignements au   06 86 58 36 19


UNE COMMUNICATION INTERPERSONNELLE SAINE

(Exemple de déroulé)

 

 Objectif:

   - améliorer la qualité de la communication entre soi et les autres.

   - éviter d'être affecté lors d'un échange (verbal ou non verbal).

   - être en capacité de faire face aux situations difficiles.

   - être davantage capable d'apporter un soutien psychologique

   même face à une situation lourde.

 

 

 Pour aller plus loin: identifier les causes réelles des souffrances psychologiques

 et savoir y remédier.

 

SOMMAIRE

vous bénéficierez d'informations, de mise en situation pour mieux intégrer,

des démonstrations et des histoires issues de faits réels.

 

 

 1/ L'intention: écouter pour comprendre avant de répondre.

  .selon son histoire de vie, chacun à son vécu et ses représentations.

  .si vous ne cherchez pas à m'écouter et me comprendre pourquoi le ferai-je?

 

 2/ L'attention: où doit-elle se poser?

  .pour qu'il y ait un échange, les deux interlocuteurs doivent être considérés.

  .l'attention est pour les personnes et l'intérêt pour les informations.

  .éviter l'écueil de l'empathie et des neurones miroirs.

 

 3/ La posture: être ouvert pour que l'information circule plus librement

 

 4/ Le questionnement: pour comprendre l'interlocuteur et qu'il se sente compris

   . suite logique de question fermé, de question ouverte et de validation.

 

 


D'un point de vue individuel, que ce soit l'étude d'Harvard qui précise que notre capacité à entretenir de bonnes relations est source de bonheur ou que ce soit des personnes comme Théodore ZELDIN, CONFUCIUS ou SOCRATE, qui invitent à apprendre à communiquer car nous ne l'apprenons pas tel qu'il serait juste tous, pour être plus heureux et donc non-affecté (colère, tristesse, peur...). Je vous invite à prendre connaissance de ce qui touche les professionnels de la relation d'aide car le processus est identique dans nos propres relations . Les différences sont principalement la fréquence des situations à valence négative et l'intensité des cas.

Pour les professions liées à la relation d'aide:

le soutien et les soins apportés aux personnes en souffrance affectent les personnes aidantes. Vos prestations, l'offre que vous proposez, l'image de votre structure et la qualité de vie au travail de vos salarié(e)s se trouve affectée. Pour remédier à cela, je viens vous proposer une offre modulable avec attestations que vous pourriez choisir de joindre au nouveau passeport prévention et au DUER le cas échéant. Études au cours des dernières années : des chercheurs ont constaté que certains soignants ressentaient un profond mal-être qui était très différent de l’épuisement professionnel et qu’il s’inscrivait plus particulièrement dans la relation thérapeutique entre le soignant et le soigné (Lebel, 2015). Ce concept est maintenant reconnu comme la « fatigue de compassion ». Il fait référence à «un état d’épuisement et à une saturation de la relation thérapeutique » (Dehoux, 2014, cité dans Lebel, 2015). Cette fatigue se produit lorsque le soignant perd sa capacité à prendre soin, à être empathique ou à éprouver de la compassion. Un phénomène plus saillant dans la relation à l'autre, fût remarqué dès 1978, Charles Figley qui précisa dans son article sur les vétérans de la Guerre du Vietnam « les familles, amis, et professionnels sont susceptibles de développer des symptômes de stress traumatique parce qu'ils ont un engagement empathique envers les victimes d'événements traumatique ». Judith Lewis Herman décrit que « Le traumatisme est contagieux ». Ce traumatisme est nommé vicariant ou secondaire. Le traumatisme vicariant et le stress de compassion, qui avec le temps devient la fatigue de compassion, s’inscrivent dans la relation thérapeutique avec le patient et serait la résultante du phénomène empathique. Choisir d'adopter une nouvelle posture semble avoir un effet signifiant sur l'état d'être du professionnel en choisissant de ne plus être en relation (empathique) mais être communicant (assertif). C'est grâce à des modules adaptables selon vos besoins et situations, que vous permettriez d'acquérir cette compétence relationnelle pour le bien-être de tous.

 

D'un point de vue de la prévention en entreprise:

Les RPS sont définis comme des risques pour la santé mentale, physique et sociale, engendrés par les conditions d’emploi, les facteurs organisationnels et les facteurs relationnels susceptibles d’interagir avec le fonctionnement mental.

 

A/ Les exigences émotionnelles : Elles sont liées à la nécessité de maîtriser ses propres émotions, de les cacher ou de les simuler. Elles concernent essentiellement les métiers de services : tensions avec le public, contact avec la souffrance ou la détresse humaine, obligation de sourire ou de paraître de bonne humeur. L’exigence de devoir cacher ses émotions peut également concerner d’autres secteurs d’activités quand la culture dominante de l’entreprise est le contrôle total de soi en toutes circonstances et l’affichage constant d’une « attitude positive ».

 

B/ Rapports sociaux au travail dégradés : Les rapports sociaux au travail ont été très étudiés, notamment au travers du « soutien social » (voir modèle de Karasek), de « l’équilibre efforts – récompenses » (voir modèle de Siegrist) et de la « justice organisationnelle » (équité dans la distribution des ressources et des avantages, au regard des efforts accomplis et en comparaison avec ce que donnent et reçoivent les collègues occupant un poste similaire). Cette catégorie inclut les relations de travail avec les collègues ou avec la hiérarchie, les perspectives de carrière, l’adéquation de la tâche à la personne, les procédures d’évaluation du travail, l’attention portée au bien-être des salariés.

 

C/ Conflits de valeurs : ils renvoient à l’ensemble des conflits intrapsychiques consécutifs à la distorsion entre ce qui est exigé au travail et les valeurs professionnelles, sociales ou personnelles des salariés. Par exemple : faire un travail que l’on juge inutile, faire la promotion d’une méthode que l’on sait inefficace, ne pas pouvoir faire un travail de qualité, dont on est fier, etc.

 

Conséquences négatives (effet systémique non décrit ici) en l'absence d'action :

Le syndrome d'épuisement professionnel, ou burnout, est un ensemble de réactions consécutives à des situations de stress professionnel chronique dans lesquelles la dimension de l’engagement est prédominante.

 

Il se caractérise par 3 dimensions :

  • l’épuisement émotionnel : sentiment d’être vidé de ses ressources émotionnelles,

  • la dépersonnalisation ou le cynisme : insensibilité au monde environnant, déshumanisation de la relation à l’autre (les usagers, clients ou patients deviennent des objets), vision négative des autres et du travail,

  • le sentiment de non-accomplissement personnel au travail : sentiment de ne pas parvenir à répondre correctement aux attentes de l'entourage, dépréciation de ses résultats, sentiment de gâchis…

D'un point de vue, compétences professionnelles :

l'un des paramètres de l'employabilité est de l'ordre de la compétence sociale soit donc des capacités relationnelles de l'individu (la faculté de prise en compte de l'autre, d'adaptation à la relation...).

            La compétence relationnelle est appelée en anglais soft skills.

Elle est considérée comme une capacité d’habilités émotionnelles et comportementales, ainsi que de facultés de communication d’une personne. Elle est liée tout d’abord avec le savoir-être, mais elle requiert aussi le savoir-faire afin de la mettre en œuvre.

La compétence relationnelle est une compétence professionnelle transversale.

A/ Les compétences émotionnelles :

a/ L'intelligence émotionnelle : (niveau 3)

Connaissance de soi et relation avec autrui

  • Savoir s'analyser dans la relation aux autres

  • Se décentrer pour comprendre les réactions des autres et les intégrer dans la prise de décision

  • Faire preuve de distance critique avec soi-même

b/ Capacité de résilience. (niveau 3)

                                Intégration – prise de conscience

 

B/ Les compétences sociales / interpersonnelles :

a/ Relation à autrui : (niveau 1)

Travail en équipe et coopération - intégration à un groupe,

écoute et solidarité :

  • écouter et comprendre les autres

  • soutenir les autres en cas de besoin

C/ Médiation et résolution de problème : (niveau 4)

  • empathie, compréhension des différents points de vue

  • écoute active : identification des points d'accords et de désaccord

     Essayer, découvrir comment, il est possible de communiquer autrement pour se préserver, avoir une meilleure conscience de ce qui se vit dans la relation à l'autre et votre vie va être plus heureuse, cela va influer votre état de santé et développer votre conscience du monde pour un meilleur monde commun.

 

                     Je suis à votre écoute au 06 86 58 36 19.

                                                                                            Chaleureusement,

                                                                                                            Frédéric LEDEZ.

 

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